Denpasar Bali, Kuala Lumpur Malaisie

Denpasar 16 septembre:

Afin de pouvoir atteindre notre prochain pays, le Cambodge, nous prenons un vol pour Bali et faisons une escale de deux jours à Depasar, Legian Beach. Plage réputée pour ses vagues faciles qui conviennent pour débuter le surf. Ronald et Enzo profite de cette occasion pour prendre deux cours de surf. Très joli spectacle que de voir tous ces surfeurs. L’eau semble gelée, mais elle est à 25 degrés quand même!

Kuala Lumpur 19 septembre :

Pour le vol de Denpasar, au départ les employés au sol, alignés, nous font au revoir de la main. Trop joli!

On aperçoit les volcans de Java qui dépassent des nuages... En arrivant en Malaisie se sont des hectares de palmiers bien alignés, pour la production d’huile de palme, que l’on apperçoit.

Kuala Lumpur est une ville immense, embouteillée et humide. La chaleur est insupportable dès midi. L’humidité est élevée et pour la première fois depuis le début du voyage, on prend une belle averse.

Au menu des visites, le quartier indien (Little India) et le quartier chinois (Chinatown). Les deux très typiques : le premier a des étals remplies de foulards et de tissus de toutes les couleurs et chatoyants comme dans les contes des mille et une nuits et le second se distingue par des lanternes rouges suspendues au-dessus de la rue et d’inombrables échopes vendant les produits «originaux» de toutes les marques possibles.

De notre appartement, on a la vue sur les tours Petronas et la tour des télécommunications. Magnifiques, de nuit comme de jour. Visite des tours Petronas : plus hautes tours jumelles au monde, (auparavant c’était les Twin Towers de New York!). Elles ont une hauteur de 452m pour 88 étages et sont reliées par 2 ponts aux 41ème et 42ème étages. La vue est splendide du skybridge et époustouflante du 83è étage.

Les jardins valent aussi le détour et on profite de se rafraîchir les pieds dans un des plans d’eau, il doit faire au moins 35 degrés à l’ombre, c’est terrible. Seule alternative entre midi et 16h00, les centres commerciaux, temples de la consommation dans toute leur splendeur, c’est affligeant certes, mais rafraîchissant !